Les labels RSE sont devenus incontournables pour prouver l’engagement réel d’une entreprise en matière de responsabilité sociétale.
S’engager pour un impact positif, c’est bien. Mais dans un contexte où les clients, les investisseurs, les talents et même les collectivités attendent des preuves concrètes, il ne suffit plus d’avoir de bonnes intentions : il faut les valoriser, structurer et rendre visibles.
Les labels RSE permettent justement de :
- Valoriser sa démarche auprès de ses parties prenantes,
- Se différencier sur un marché de plus en plus attentif à l’impact,
- Structurer ses actions selon un référentiel reconnu,
- Gagner en crédibilité, en lisibilité et en visibilité.
Mais face à la multiplication des labels, comment faire le tri ?
Quels critères prendre en compte ? Et surtout, comment éviter de tomber dans une démarche de “labellisation vitrine” sans profondeur ?
👉 C’est à ces questions que répond notre livre blanc “Les labels RSE”, que vous pouvez télécharger gratuitement dès maintenant.
Ce que vous trouverez dans notre livre blanc
Notre guide a été conçu pour les TPE, PME et ETI qui veulent :
- Comprendre à quoi sert un label RSE
- Identifier les labels vraiment crédibles
- Choisir un label adapté à leur structure, leur secteur et leur niveau de maturité
Vous y trouverez :
- Un panorama clair des labels les plus reconnus (Lucie, B Corp, Ecovadis, Engagé RSE, Positive Workplace, etc.)
- Une explication de leurs spécificités, exigences, coûts et avantages
- Des conseils pratiques pour choisir, préparer et réussir votre labellisation
- Un comparatif visuel pour vous orienter selon vos besoins
À quoi sert un label RSE, concrètement ?
Un label RSE est une marque de reconnaissance : il atteste qu’une entreprise a mis en place une démarche sérieuse, cohérente et mesurable en matière de développement durable. Contrairement à une simple charte d’engagement ou à un code éthique, le label est délivré par un tiers, souvent après un audit ou une évaluation rigoureuse.
Il permet :
- De se positionner comme acteur engagé
- De gagner la confiance de nouveaux clients ou partenaires
- De répondre à des appels d’offres publics ou privés exigeant des preuves concrètes d’engagement
- De motiver les équipes, qui se sentent alignées avec un projet d’entreprise porteur de sens
- De structurer sa démarche RSE autour d’un référentiel clair, avec des axes d’amélioration suivis dans le temps
Tous les labels RSE se valent-ils ?
Non, et c’est bien là le cœur du sujet. Tous les labels ne se valent pas :
- Certains sont très exigeants et reconnus internationalement (comme B Corp)
- D’autres sont plus accessibles pour les petites structures ou les démarches débutantes (comme Engagé RSE ou Positive Workplace)
- D’autres encore sont des labels sectoriels (ex : label Numérique Responsable pour les entreprises IT).
Le problème, c’est que la prolifération des labels crée de la confusion. Quels critères regarder avant de s’engager ? Notre livre blanc vous donne une méthode simple pour y voir plus clair.
Comment choisir un label RSE adapté à votre entreprise ?
1. Le niveau d’exigence
Certains labels demandent un engagement très poussé, un audit complet, et un plan de progrès sur plusieurs années. D’autres sont plus souples, avec une autoévaluation initiale.
Exemples :
- B Corp : très exigeant, mais reconnu mondialement.
- Lucie 26000 : rigoureux, mais accessible aux PME.
- Positive Workplace : plus simple, avec une approche pédagogique.
2. La reconnaissance externe
Il faut s’assurer que le label est reconnu par :
- Vos clients
- Vos partenaires
- Vos financeurs
- Et parfois l’administration publique.
Un label connu améliore la crédibilité et le ROI de la démarche.
3. Le secteur d’activité
Certains labels sont généralistes, d’autres sont sectoriels. À vous de choisir ce qui est le plus pertinent :
- Numérique responsable
- Bio équitable
- Label RSE dans l’industrie, la construction, etc.
4. Le budget et les ressources internes
Une labellisation représente un coût :
- Financier : audit, accompagnement, cotisation annuelle…
- Humain : collecte de données, structuration des process, implication des équipes.
Labels vs. société à mission : que choisir ?
Beaucoup d’entreprises nous posent la question : faut-il privilégier un label ou devenir société à mission ?
La réponse est… les deux sont complémentaires.
- Le label RSE permet de valoriser un niveau d’engagement atteint, souvent évalué de manière standardisée, avec un scoring.
- Le statut de société à mission permet de s’ancrer dans une démarche plus stratégique, sur mesure et de long terme, avec un ancrage juridique et un comité de mission.
👉 Pour en savoir plus, découvrez notre article Société à mission vs B Corp : deux démarches complémentaires ?
Les pièges à éviter
- Choisir un label juste “pour l’image”, sans implication réelle
- Multiplier les labels sans cohérence stratégique
- Sous-estimer la charge de travail nécessaire
- Ignorer les labels locaux ou sectoriels pertinents
Prendre le label comme une fin en soi, alors que c’est un point de départ vers l’amélioration continue
Conclusion
Les labels RSE ne sont pas de simples tampons à apposer sur une plaquette commerciale. Ce sont des outils puissants, à condition de les choisir avec discernement et de les inscrire dans une démarche sincère et structurée. Dans un monde où les attentes sociétales sont de plus en plus fortes, et où la défiance envers les discours marketing est grandissante, ils permettent aux entreprises de prouver, concrètement, leur impact.
Mais attention : se labelliser n’est pas une fin en soi. C’est un point de départ, un cadre, un levier pour progresser. Encore faut-il que ce label soit adapté à la taille de l’entreprise, à son secteur, à son niveau de maturité RSE, et surtout… à sa capacité à le faire vivre dans le temps.
Choisir un label crédible, reconnu, aligné avec sa stratégie globale, c’est envoyer un signal fort à son écosystème. C’est aussi mobiliser ses équipes, renforcer sa culture d’entreprise, gagner des marchés, attirer des talents et structurer ses actions d’impact.
Mais pour faire le bon choix, il faut poser les bonnes questions dès le départ :
- Que voulons-nous prouver ?
- À qui voulons-nous le prouver ?
- Quels moyens sommes-nous prêts à investir ?
- Et comment allons-nous faire vivre cette labellisation dans le temps ?
C’est justement pour vous aider à répondre à ces questions que nous avons conçu notre livre blanc “Les labels RSE”. Clair, pédagogique et conçu pour les PME, il vous offre un panorama complet des labels disponibles, des conseils concrets, des comparatifs utiles et une méthode pas à pas.